Monsieur Capo-Canellas, je commencerai par là où vous avez terminé, par un mot que j’affectionne, celui de « redressement ».
En effet, le Premier ministre et le Gouvernement savent où ils vont – nous savons où nous allons – et le Président de la République rappellera, ce soir, le cap, qui est précisément celui du redressement.
Mais pour qu’il y ait redressement, il faut qu’il y ait eu dégradation.