Cette stratégie est possible, mais va devenir complexe dans la mesure où les projections anticipent une baisse des précipitations sur l'ensemble de la France. Avec la hausse des températures, les besoins d'irrigation des cultures augmentent également. Les tensions sur l'eau vont donc augmenter, avec des effets aggravants. Parallèlement, des zones aujourd'hui peu exploitées vont devenir plus intéressantes pour produire certaines cultures. Le sujet a donc des répercussions en termes de compétitivité comparée des régions agricoles.