En 2012, la Française des jeux a payé plus de 3 milliards d'euros de taxes, soit 100 millions d'euros de plus qu'en 2011. De plus, le droit au pari que nous avons versé a représenté plus de 4 millions d'euros sur 5,5 millions d'euros. La quasi-totalité, 4,1 millions d'euros, relevait de notre activité de paris sportifs dans le réseau, et seulement 100 000 euros de notre activité de paris sportifs en ligne.
Nous travaillons beaucoup sur le suivi des mises et la détection des mises atypiques. Nous sommes engagés dans un projet international monté avec de nombreuses autres loteries européennes, destinées à partager les informations que détiennent tous les opérateurs sur les variations fortes de mises.
Nous ne faisons pas de publicité dans les cinémas car nous ne pouvons avoir la certitude qu'elles ne seront pas vues par des mineurs. En décembre 2011, le Conseil d'Etat a considéré que le plafonnement des dépenses publicitaires à 1 % de nos mises permettait d'informer correctement les joueurs sur l'existence des jeux sans les inciter exagérément à jouer.