Si un contrôleur permet de récupérer en moyenne 20 millions d'euros par an, ce serait loin d'être le cas si son activité portait uniquement sur l'auto-entrepreneur, dont on sait que le chiffre d'affaires engendre un faible montant de redressement. Il y a une balance coût-avantage à établir dans ce domaine.
Je m'interroge sur la difficulté que nous avons à disposer de données fiables et explicites. S'agit-il d'un blocage administratif ou est-ce parce que les formulaires ont été plus ou moins intentionnellement mal conçus et ne permettent pas de vision exacte sur ce qui nous a été présenté comme la grande réussite du siècle ? Il est paradoxal qu'après quatre ans, on constate de telles lacunes !