Que dire à ces jeunes qui font l’effort d’apprendre le français dans nos lycées, nos instituts et nos alliances à l’étranger, dans l’espoir d’aller étudier dans notre pays ?
Il s’agit évidemment non pas d’interdire tout cours en langue étrangère à l’université – il s’en dispense déjà –, mais de refuser l’inscription dans la loi d’une mesure aussi absurde, aussi négative. §
Les hispanophones, les lusophones ou la Chine redoublent d’efforts en faveur de l’émergence d’un monde multipolaire et multilingue.