Madame la sénatrice, je vous demande de bien vouloir excuser Geneviève Fioraso, qui est précisément retenue à l’Assemblée nationale par la discussion du projet de loi relatif à l’enseignement supérieur et à la recherche.
Je tiens tout d’abord à souligner que nous n’avons pas l’intention de modifier la Constitution : la langue de la République restera bien le français !