Ensuite, il est proposé de créer des structures communes entre Sanofi et le monde universitaire, de manière à permettre des transferts de technologies et une synergie en matière de recherche.
En outre, Sanofi s’engage à financer la création de start-up et d’entreprises innovantes, à concurrence d’une petite centaine d’emplois.
Enfin, les fonctions support seront maintenues.
L’ensemble de ces propositions permet de considérer que, sous diverses formes, 450 emplois seront conservés à Toulouse, la majorité d’entre eux pour cinq ans. C’est un compromis entre la fermeture pure et simple du site et le statu quo.