Comment le Conseil national d’évaluation peut-il évaluer, comme son nom l’indique, s’il ne dispose pas d’outils pour ce faire ?
De même, à l’heure de la dématérialisation, comment pourrait-il être « encombré » ? N’allons pas imaginer des piles de feuilles de papier s’entassant sur des bureaux ! Je ne saisis absolument pas cet argument, que je trouve surréaliste.
Il y a des choses très concrètes qui sont réalisées au sein des écoles et des académies. Il serait utile que ce conseil puisse travailler sur des éléments tangibles.