Je partage entièrement le point de vue de mon collègue ; j’ai d’ailleurs développé la même analyse lorsque j’ai présenté les amendements mis au point par Colette Mélot.
La réponse de Mme le rapporteur sur les académies frontalières et les accords qu’elles ont passés me satisfait. Colette Mélot craignait en effet que la clause de réciprocité ne soit restrictive.
En outre, je reconnais que l'anglais est déjà la langue dominante.
Par conséquent, je retire les amendements n° 167 rectifié bis et 168 rectifié ter.