Monsieur le président, je vais suivre les positions de Mme la rapporteur.
Les discussions sur ce sujet ont été rendues très difficiles par les nombreux malentendus survenus à la suite du débat à l’Assemblée nationale. De surcroît, cette question est strictement encadrée par notre Constitution.
Malgré tout, si vous adoptez cette proposition élaborée par Mme Blondin, avec l’aide de spécialistes du droit et de certains de vos collègues députés, jamais la France ne sera allée aussi loin dans la reconnaissance des langues régionales.