L’avis de notre rapporteur me paraît assez équilibré.
Tout à l’heure, il m’a dit qu’il ne souhaitait prendre en compte que les métropoles qui sont véritablement « cœur de région » et ne pas étendre ce statut à l’infini.
Il est clair que, pour envisager l’avenir et élaborer les contrats de projet ou les contrats de plan, les métropoles « cœur de région » doivent être associées à ce qui les concerne au premier chef. En effet, c’est en leur sein que se trouvent principalement les compétences universitaires, de recherche, d’innovation, les pôles de compétitivité. C’est évidemment important !
Je veux bien que la métropole de Lyon ne soit pas associée à cette négociation, mais elle représente 24 % du PIB régional : on peut l’ignorer, mais on viendra ensuite la chercher pour financer des projets !