Sans pour autant « secondariser » l'enseignement supérieur, les universités doivent s'intéresser aux questions liées à l'orientation, voire à la ré-orientation, éventuellement vers l'alternance, pour favoriser l'insertion professionnelle. Faute de quoi nos étudiants préfèreront se diriger vers d'autres types d'établissements. La fonction de production et de diffusion de connaissances est compatible avec les objectifs d'insertion professionnelle. À la Rochelle où nous menons les deux de front, nos effectifs ont augmenté de 20 % en quatre ans.