La discussion de la proposition de loi a très largement dépassé le temps prévu – et espéré. À cet égard, je tiens à faire remarquer que la majorité parlementaire n’a pas abusé de son temps de parole, afin, précisément, de garder le temps nécessaire pour examiner le projet de loi organique, et peut-être de le voter. Cela n’a pas été le cas de nos collègues qui sont intervenus sur ce texte : alors que mon temps de parole dans la discussion générale était de quinze minutes, je n’ai parlé volontairement que sept minutes, contrairement à M. Doligé, qui s’est exprimé durant dix-sept minutes, alors qu’il ne disposait que de quinze minutes.