Une grappe de raisin, oui : l'axe central serait la maîtrise de la demande. Les grains seraient les mesures de détail, entre lesquelles le gouvernement aura le choix. La mobilité est le domaine sur lequel nous avons le moins travaillé, aussi ma pensée sur ces questions est-elle moins structurée. Nos hypothèses sont conservatrices : la mobilité personnelle va-t-elle s'accroître de 0,6 % par an ? Cela ferait 40 % de déplacements en plus en 2040, ce qui est beaucoup. Va-t-elle se stabiliser ? Se réduire ? Nous ne savons pas. Sur la mobilité, nous patinons.