Je vous remercie, madame la présidente ; mon intervention sera extrêmement concise, sinon télégraphique !
Premièrement – et je le dis très simplement à Mme Cartron –, je ne vois pas en quoi la liberté pédagogique est mise en cause dans cette affaire.
Deuxièmement, l’argument avancé par Mme la rapporteur selon lequel l’Inspection générale avait conclu en 2011 que le dispositif n’était pas probant constitue bien une remise en cause des Cordées de la réussite. Nous pensons quant à nous que ce dispositif est utile et nous voulons le rappeler dans la loi. Le rapport précise d'ailleurs que près de 49 000 élèves ont bénéficié de ces actions, soit 10 000 de plus qu’en 2010-2011. Voilà, nous semble-t-il, qui mérite de poursuivre l’effort !