Je comprends mieux, en écoutant mes collègues, que l'on n'ait pas établi de hiérarchie des priorités jusqu'à présent. Je ne pense pas qu'il faille que chacun plaide pour son bout de TGV ou son bout de route. On a tous des arguments pour défendre nos projets. La méthode de Philippe Duron est la bonne : essayer d'avoir des critères aussi objectifs que possible dans un contexte économique et financier difficile.
Il y a des effets de mode, pour les TGV comme pour les tramways. On a trop fait de tout-TGV, à présent il va falloir hiérarchiser. J'espère que l'on retiendra, au moins partiellement, les critères mis en avant dans le rapport. Reste l'épreuve difficile de la prise de décision.