Aussi avons-nous essayé de mettre en place une politique qui favorise leur retour, ainsi avec le programme de jeunes groupes dirigés pour quatre ans par un scientifique qui revient dans son pays. Cela suppose de leur offrir les mêmes équipements, les mêmes moyens que ceux à leur disposition à l'étranger, la même autonomie, aussi. Les gens ne reviennent que si on leur offre de bonnes conditions de travail. Et quand ils le font, cela est tout à fait bénéfique et peut faire boule de neige. L'essentiel est de travailler en symbiose étroite avec le pays d'implantation.