Quand nous pouvons rentrer dans l'une de leurs thématiques, nous posons notre candidature. C'est ainsi que nous avons répondu à un appel d'offres sur la dengue. Au Laos, en revanche, nous nous sommes engagés au moment où la crise commençait : les fonds européens qui nous étaient promis ne sont jamais arrivés. Du coup, le Luxembourg a pris le relais, et nous comptons sur place quatre équipes, luxembourgeoise, laotienne, française mais aussi japonaise, car les Japonais ont manifesté leur intérêt et nous discutons avec eux de cofinancement.