La première touche aux ressources humaines. Nous avons besoin de gens compétents, bien formés, et qui restent. L'autre tient à l'instabilité politique, car la recherche est une activité à long terme. L'année 2011, avec les événements de Cote d'Ivoire, du Niger, de Tunisie, d'Egypte a été pour nous, de ce point de vue, une année noire.