Bien sûr. Nous avons, en France, une vingtaine de cours au niveau du mastère. Nous y accueillons beaucoup d'étudiants du sud, ainsi que dans nos laboratoires. En 2007, nous avons créé une école de santé publique à laquelle le Conservatoire national des arts et métiers contribue en se chargeant de la partie économique et sociologique des enseignements. Près de la moitié des étudiants viennent des pays du sud. Beaucoup de ces étudiants vont suivre leur stage dans les Instituts Pasteur du réseau. C'est là que se nouent, souvent, des relations interpersonnelles, qui favorisent les collaborations futures.