Nous sommes encore loin du but ! On a toujours l'impression, notamment dans le domaine de la recherche, que le virus a une longueur d'avance. Notre contribution est une goutte d'eau pour les pays en développement, mais elle est essentielle et très appréciée.
De petits investissements sur le terrain peuvent avoir des retombées très importantes. On a fait, ces dernières années, des études bibliométriques à partir des publications issues des travaux financés par Sidaction : les résultats étaient très bons. Nous avons fait appel à la même cellule d'évaluation que l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). Une des publications qui est ressortie de la première étude était issue d'un travail financé au Malawi au sujet de l'extension de l'usage des antirétroviraux en milieu rural.
Ce travail de recherche appliquée sur le terrain a eu un impact très important en termes de transmission de connaissances.