Nous avons une position privilégiée avec nos interlocuteurs scientifiques, car nous sommes là depuis vingt ans.
Les chercheurs du Sud ont beaucoup d'attentes, qui sont parfois déçues du fait de nos faibles moyens et des limites de notre appel d'offres.
Nous avons de très bonnes relations avec l'ANRS, nous essayons de planifier un travail commun, de nous rencontrer régulièrement autour de thématiques et d'échanger des informations. Nous organisons ensemble certains événements, par exemple lors de la conférence de Kuala Lumpur sur la qualité de vie et la qualité de soins.
Sidaction est plus connu des ministères pour ses actions en France et dans les pays en développement, mais moins pour les aspects liés à la recherche. Nous avons cependant beaucoup travaillé avec le ministère de la recherche sur le financement des jeunes chercheurs.