Notre force réside dans la multiplicité de nos interventions. Grâce aux programmes internationaux, nous connaissons mieux nos partenaires potentiels du Sud.
Nous intervenons également dans la formation des chercheurs, grâce à l'université d'été des jeunes chercheurs mais aussi, depuis des années, grâce au soutien de formations au Sud, en direction de représentants communautaires, mais également de soignants. Je pense notamment au Diplôme universitaire (DU) de Ouagadougou, que nous soutenons depuis des années. On retrouve donc tout naturellement parmi les chercheurs potentiels, qui peuvent aujourd'hui adresser des demandes directes à Sidaction, des personnes passées par ces parcours.
Notre atout tient au lien qui existe entre les différents acteurs, dont certains possèdent des données de grande qualité mais qui n'ont pas les ressources internes pour bien les exploiter et transmettre leurs connaissances. Des projets de recherche intéressants pourraient ainsi émerger.