La formation est essentielle, celle des acteurs du Sud, mais aussi celle de la relève au Nord.
Je crois également qu'il faut soutenir la recherche fondamentale au Sud. Aujourd'hui, le Sud est souvent exploité en termes de recherche clinique ou en sciences sociales, alors qu'il y a certainement des ressources humaines en matière de recherche fondamentale. Je pense notamment à du personnel technique qui travaille dans des laboratoires de virologie, et qui a beaucoup d'expérience. Il peut évoluer vers la recherche fondamentale, s'il est accompagné d'une bonne formation.
Nous défendons également beaucoup la multidisciplinarité, des chercheurs et des soignants.