Hélas, non ! Elles ne sont plus que d'environ 17 millions d'euros et ont connu une certaine baisse.
Nous essayons de pérenniser notre action sur certains secteurs. Nous avons réduit toutes nos enveloppes. La recherche a également été touchée, mais nous n'avons pas l'intention de nous désengager d'un terrain particulier. Nous ne réduirons pas a priori le financement de projets en Afrique ou en Asie.
A l'échelon des programmes internationaux, nous avons dû concentrer les zones géographiques mais, en matière de recherche, nous conserverons un appel d'offres ouvert. Nous serons plus sélectifs pour rester présents sur tous les terrains.