Dans votre réponse, monsieur le ministre, vous vous en êtes tenu aux éléments juridiques et administratifs, je le regrette. En tant que nouveau ministre de l’écologie, vous auriez pu porter un jugement de fond quant à la nécessité de préserver ces bois.
Vous avez dit, à l’occasion d’une précédente question, que vous étiez un ministre dont le territoire d’origine était rural. Selon moi, vous ne saisissez peut-être pas tout à fait l’importance de réserver ces hectares des bois de Boulogne et de Vincennes à 8 millions d’habitants. Au fur et à mesure, la ville de Paris continuera à mettre dans le bois de Vincennes ce qu’elle ne veut pas accueillir sur son territoire. Je le déplore. Nous continuerons notre combat par d’autres voies.