Je les connais. Nous travaillons de concert. Vous savez, ce qui professionnalise cette institution me convient parce que je suis confronté à des enjeux industriels, portant sur des centaines de millions d'euros ; Radio France regroupe près de 130 métiers, des investissements doivent être engagés afin de dessiner un avenir. J'apprécie de travailler avec l'organe coopératif qu'est le CSA pour conduire les transitions utiles au groupe. Je crois aux vertus des règles, je n'ai pas de problème avec l'autorité, et en l'espèce, elle est sainement exercée car son contrôle est bienveillant.
Cela a d'ailleurs été l'objet du premier entretien que j'ai eu avec son président. En me donnant sa carte, Olivier Schrameck m'a conseillé de l'appeler immédiatement à la moindre difficulté. Il est vrai que les cahiers des charges et les règles à respecter, en matière publicitaire par exemple, sont complexes. Je n'émets aucun doute sur l'indépendance du CSA.