Sans moyens, nous ne ferons pas de miracles, car la concurrence est forte. Nous devons donc être capables d'attirer des thésards, des post-doctorants et de favoriser leur retour. Nous devons également être en mesure d'implanter des laboratoires dans ces pays du Sud. Nous avons développé un partenariat entre l'Institut hospitalier universitaire Méditerranée (IHU) de Marseille et un laboratoire situé au Sénégal, où des développements technologiques de pointe devraient être installés, ce qui nécessite donc des moyens.
Nous souhaitons également améliorer notre cohésion avec le ministère des Affaires étrangères.