Nous devons développer davantage les discussions directes avec les organismes et les laboratoires. Les réactions varient fortement selon les établissements, entre ceux qui ont une culture sécuritaire depuis longtemps, comme le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et le centre national d'études spatiales (CNES) et ceux qui découvrent l'existence même de règles protectrices. Un laboratoire universitaire intervenant dans un contexte libéral sur des champs de recherche théoriques, éprouve plus de difficultés à comprendre les impératifs de la sécurité que le CEA, qui de son côté a déjà mis en place un dispositif très rigoureux.