Frédéric Morinière, adjoint du haut fonctionnaire pour la sécurité et la défense du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche :
Il s'agit de les convaincre que les incidents ne sont pas fictifs, et qu'il n'existe aucune exagération de la part des services de renseignements. Les chercheurs savent généralement que leur ordinateur et leur téléphone portable sont fouillés.