Deux juges pourront toujours interpréter le terme « grave » de deux façons différentes.
Ensuite, il existe aujourd’hui une jurisprudence administrative.
Enfin, la situation d'un étranger que l'on expulse n’est pas juridiquement comparable à celle d'une femme qui demande un titre de séjour parce qu'elle est menacée.
La commission des lois maintient donc son avis défavorable.