L’application de cet amendement, s’il était adopté, poserait de nombreuses difficultés pratiques.
Par ailleurs, l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité, l’ARPP, a effectué un travail intéressant, et très peu de publicités ont nécessité une intervention a posteriori du CSA.
Enfin, nous devons être attentifs à ne pas mettre en place des contraintes trop importantes : même l’humour pourrait ne plus être autorisé !
Pour toutes ces raisons, la commission a émis un avis défavorable.