Monsieur le président, mesdames les ministres, mes chers collègues, il arrive parfois que, d’une lecture à l’autre, certains projets de loi fassent l’objet de profonds bouleversements. C’est indéniablement le cas avec le volet francilien de ce texte.
J’ai noté que certains, comme M. Karoutchi, semblaient regretter le texte qu’ils ont pourtant abondamment raillé en première lecture et souhaiteraient y revenir en ajoutant une couche supplémentaire au millefeuille, complexifiant encore davantage l’organisation territoriale.