Monsieur Dallier, je vous l’ai dit au début de cette deuxième lecture, la position que vous avez adoptée a été largement partagée. Vous avez proposé l’une des solutions possibles pour l’organisation métropolitaine. Une autre voie a été choisie, mais je reste persuadée que des conventions seront nécessaires entre les départements et la métropole, ce qui exigera beaucoup de travail et d’échanges. C’est ainsi que l’histoire s’écrira.
Grâce à votre contribution, et nous devons vous en remercier, nous avons trouvé un chemin pour cette métropole parisienne.
Je vous demande donc de bien vouloir retirer votre amendement.