Monsieur Richard, nous avons abouti à cette situation, car un certain nombre d’amendements sont tombés.
Pour ma part, je crois qu’il est temps de relativiser les a priori : les risques de déconstruire l’intercommunalité par une trop grande souplesse des outils de mutualisation n’existent plus. L’intercommunalité ayant fait ses preuves, il serait temps d’en prendre acte. À cet égard, la meilleure réponse a été trouvée dans des communes comme Rennes, Montpellier, Saint-Dié-des-Vosges ou Annonay.
Je le répète, des amendements étant tombés, nous pourrons seulement faire une rectification à l’Assemblée nationale.