Pour conclure, je tiens à remercier, au nom de mon groupe, les auteurs de ce rapport pour la qualité du travail et des analyses qui y sont développées. Nous nous inscrivons dans les recommandations formulées.
La pratique du dopage, parce qu’elle concerne tous les sports, tous les pays et tous les niveaux, doit être combattue de manière transversale dans l’ensemble des disciplines, à l’échelle nationale et internationale. La France, qui est un des premiers pays à avoir adopté une réglementation en la matière, dès 1965, ne doit pas relâcher ses efforts en faveur de la transparence, de l’éthique et de la lutte contre le dopage, à l’échelle tant nationale qu’européenne et mondiale. Ainsi, le sport continuera d’être reconnu comme un élément de santé publique, et non le contraire, mais aussi comme un moteur pour la jeunesse.
Je fais confiance, comme mes collègues, à notre ministre de la jeunesse et des sports pour présenter l’année prochaine un projet de loi portant cette préoccupation très forte de la lutte contre le dopage. Je me souviens des débats à ce sujet entre certains députés, auprès desquels je travaillais comme jeune assistant parlementaire, et Marie-George Buffet, qui avait fait un travail remarquable. J’espère que nous resterons dans cette continuité afin de peser davantage sur cette politique très importante pour notre pays, pour le sport et pour notre jeunesse.