J’entends les propos de M. le ministre sur le fait que nous nous retrouverons peut-être en 2015, des indications sur l’exportation ou non de Rafale devant être disponibles à ce moment-là. Si les mois et les trimestres se succédaient sans vente à l’export, il faudrait bien anticiper un passage pour le moins difficile : l’arrivée d’une commande dans dix-huit mois ou deux ans ne susciterait pas de ventes instantanées.
À titre personnel, je comprends la position du Gouvernement, mais la commission des finances a émis un vote à l’unanimité, et cela me lie. Monsieur le ministre, si je vous ai bien compris, vous ne souhaitez pas qu’une telle mention figure dans le texte ?