La commission est d’accord sur le fond, car il s’agit d’un abus manifeste, mais elle soulève deux difficultés.
En premier lieu, par définition, une telle question ne saurait être évoquée dans le contrat de bail.
En second lieu, il existe des situations où la cosignature du bail par un ascendant ou un descendant arrange tout le monde. On ne peut l’ignorer. Si l’on exclut totalement cette possibilité, on risque parfois d’aller à l’encontre du souhait des personnes concernées.
C’est pourquoi je vous demande, monsieur Dallier, de bien vouloir retirer votre amendement. Nous pourrons réexaminer cette question au cours de la navette. À défaut de retrait, j’émettrai un avis défavorable.