La commission n’est pas enthousiasmée par cet amendement, pour deux raisons.
Tout d’abord, nous avons déjà traité tout à l’heure les questions relatives à la rémunération des actionnaires. Je pourrai reprendre les arguments que j’ai alors développés relatifs à l’importance d’avoir des actionnaires dans une économie.
De surcroît, les conditions de rémunération du chômage partiel, comme nous le savons tous, font actuellement l’objet de négociations entre les partenaires sociaux ; l’adoption de cet amendement préjugerait l’issue de ces négociations.
Telles sont les raisons pour lesquelles la commission est défavorable à l’amendement n° 48.