L'indicateur que mentionne Joël Bourdin est la conséquence du nouveau système de pénalités infligées aux absents. Il produit ses effets et suscite des espoirs pour l'année à venir. Souhaitez-vous le généraliser et l'appliquer ici ?
Je suis plus proche de la position de Jean-Claude Frécon que de celle de Vincent Delahaye. Le président Delevoye a fait des efforts considérables pour lutter contre l'absentéisme, valoriser le palais et équilibrer le régime de retraite. L'État participe au financement de ce dernier à hauteur de 1,5 million d'euros, soit 1 million d'euros de moins qu'auparavant. Les recettes de l'institution ont augmenté de 2 millions d'euros par an, provenant pour l'essentiel de défilés de haute couture, et Jean-Paul Delevoye travaille désormais à un système de mécénat avec la Fondation du patrimoine. En retour, l'État a programmé la réhabilitation du palais d'Iéna.
Pour prolonger les propos de Jean-Claude Frécon, Jean-Paul Delevoye s'est, en effet, étonné que le Sénat ne fasse pas davantage appel à l'expertise du CESE.
A la Cour des comptes, la question immobilière était à l'ordre du jour l'année dernière. Elle ne l'est plus. On ne parle plus de l'Hôtel de la Marine.