Les médecins du CIVEN, sous sa forme actuelle, dépendent du Haut conseil de la santé publique. L'amendement de Mme Bouchoux visait justement à ce qu'il y ait un autre regard, afin de permettre un débat contradictoire.
M. Jean-Louis Carrère, président - Il existe un risque que le CIVEN soit affecté si un médecin désigné par les victimes sans avis conforme n'est pas à la hauteur des compétences requises pour y siéger ! Nous voulons que le CIVEN s'ouvre, mais dans le respect des garanties scientifiques. Cet avis conforme me paraît donc une bonne chose.