Pour les mêmes motifs que ceux que vient de rappeler notre collègue Nicole Bricq, je soutiendrai également l’amendement présenté par Éric Doligé, car l’injustice est flagrante s’agissant du traitement des conséquences de la sécheresse de 2003 : certaines populations ont eu la possibilité d’être indemnisées, d’autres pas.
De loi de finances en loi de finances, ces questions sont reposées et elles reçoivent toujours les mêmes réponses négatives de la part du Gouvernement.