Le dispositif proposé est fiscalement neutre. De plus, certaines cessions ne pourraient se faire sans l’intervention de crédit-bailleurs. Il semble donc légitime, dans un cadre déterminé et pour une durée limitée à un an, de permettre à ces opérations de bénéficier du taux réduit de l’impôt sur les sociétés. Une telle disposition est de nature à fluidifier le marché de l’immobilier.
Je suis donc favorable à cet amendement, et je lève le gage.