Monsieur Chalmin, vous avez conclu en disant à peu près ceci : d'une certaine manière, la seule chose que l'on sait, c'est que l'on ne sait jamais, car il y a toujours des doutes. L'histoire récente le montre bien, personne, y compris les meilleurs prévisionnistes, n'avait imaginé la crise que nous traversons, qui est en fait une mutation profonde. Voilà qui est tout de même surprenant.