En commission, nous avons adopté le principe selon lequel la place de la victime ne devrait pas être plus importante dans le cadre d'une CRPC que dans le cadre d'un classement sans suite. Pourquoi les déclarations de la victime devraient-elles prévaloir sur l'avis du procureur de la République ? Nous devons réfléchir à la place de la victime dans notre code pénal et notre code de procédure pénale. Mais il me semble que dans le cas d'espèce, sa place est injustifiée. Tel est le sens de mon amendement n° 4.