Je répondrai précisément.
Je rappelle tout d’abord que les commissions des finances de l’Assemblée nationale et du Sénat ont toujours été informées en temps réel de la situation. En outre, nous avons bâti un projet de loi de finances initial pour 2013 avec une prévision de croissance de 0, 8 %. Celle-ci s’élève finalement à 0, 1 %. L’élasticité des recettes à la croissance est un phénomène bien connu.