Concrètement, cela se traduit par une hausse des prélèvements obligatoires de 1 milliard d’euros, contre 20 milliards d’euros les années précédentes. Est-ce véritablement une augmentation de la pression fiscale ? Vous savez qu’il n’en est rien.
En outre, je le répète, pour les années à venir, nous avons prévu une augmentation zéro, ce qui est conforme aux engagements que nous avons pris devant l’Union européenne au titre du programme de stabilité.