Pour compléter le propos de mon ami Jean-Claude Requier, je voudrais ajouter que le problème, en matière de transport aérien, tient aussi à l’absence totale de péréquation.
Comment expliquer qu’un vol pour les États-Unis puisse coûter moins cher qu’un vol pour Aurillac ? Cela peut se concevoir en termes commerciaux, mais pas sur le plan de l’aménagement du territoire.