Nous avons déjà demandé, avec vous, des changements en la matière. Il est vrai que c’était avant 2012…
J’entends bien ce que vous me dites sur les discussions à venir au sujet de la fiscalité des entreprises. Nous sommes bien sûr prêts à échanger sur ce sujet très important, mais je n’admets pas que vous balayiez mon amendement d’un revers de la main, car, à mes yeux, cela signifie que le Parlement ne sert à rien.