Intervention de Philippe Marini

Réunion du 27 novembre 2013 à 14h30
Loi de finances pour 2014 — Vote sur la seconde délibération et sur l'ensemble de la première partie

Photo de Philippe MariniPhilippe Marini :

Je voudrais naturellement remercier M. le rapporteur général, François Marc. Chacun sait que je ne partage pas ses options politiques, mais je connais les difficultés et les rigueurs de la fonction, et je puis dire qu’il a vraiment fait tout ce qui était possible, avec son équipe, pour expliciter les sujets et nous conduire à délibérer en toute connaissance de cause. Sa capacité de travail et sa grande courtoisie doivent être naturellement soulignées.

Je remercie également le secrétariat de la commission des finances, vous-même, monsieur le président du Sénat, ainsi que les différents présidents de séance qui se sont succédé au plateau. Le rythme de nos travaux a été très variable, avec des accélérations subites et des phases beaucoup plus calmes. Toujours est-il que ces débats ont été, comme il se doit, parfaitement organisés, grâce au service de la séance et à l’ensemble des personnels de notre assemblée.

Je voudrais aussi remercier les membres du Gouvernement qui se sont succédé au banc, en particulier M. Benoît Hamon, qui, dans cet exercice budgétaire, a affirmé toute sa présence. Même si je n’étais pas en accord avec lui sur le fond, je me plais à souligner la clarté de son expression et la manière tout à fait respectueuse dont il a traité les différents orateurs au cours du débat.

Enfin, bien entendu, mes derniers remerciements vous sont adressés, monsieur le ministre chargé du budget – « notre » ministre, si j’ose dire, puisque la commission des finances est naturellement amenée à travailler avec vous de manière très étroite. Nous avons échangé des arguments, et vous avez logiquement défendu vos convictions. Mais vous avez incontestablement participé de façon déterminante à l’animation de ce débat budgétaire.

Mes chers collègues, peut-être l’examen de ce projet de budget par le Sénat va-t-il s’arrêter ce soir…

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